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Je sais qu' le tabac c'est pas bon pour <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la voix On">la voix
On</st1:PersonName> dit que l'alcool c'est pas bon pour le foie
Quant aux p'tites pépées c'est fatal pour le cœur
Les trois à la fois y' a pourtant rien meilleurCigarettes et whisky et p'tites pépées
Nous laissent groggy et nous rend'nt tous cinglés - é
Cigarettes et whisky et p'tites pépées
C'est çà la vie mais c'est bon d' les aimer...Telles étaient les premières strophes d'une chanson <st1:PersonName w:st="on" ProductID="de Philippe">de Philippe</st1:PersonName> Clay (cf. le 13 mai), condamnée par l'étroitesse d'esprit de la petite bourgeoisie moralisatrice et conformiste des années cinquante.
Les lois de protection contre la fumée passive, un certain féminisme et la Croix bleue ont pris le relais - plus efficacement.
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Un intellectuel sans problème,
c'est un manchot[1] qui vole :
un vœu pieux ou
une exigence que les autres,
en le regardant,
voudraient lui imposer.
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En écoutant les enfants expliquer
comment travaillent leurs parents,
on peut comprendre que
la vanité est sans limite.
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Francis Bacon
a été vendu
par ses parents à
des homosexuels
berlinois,
amis de toutes
les perversions :
Fellini aurait dû
nous raconter ça.
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